C’est un acteur de la Démocratie qui œuvre au coeur de la nécessaire ligne de démarcation

  • entre le droit de l’employeur et celui des salariés,
  • entre la liberté d’entreprendre et les droits du travail,
  • entre le droit du plus fort et le droit des peuples, …


L’Histoire du syndicalisme nous apprend qu’elle s’est construite avec des luttes contre la montée des extrêmes. Nous ne l’oublions pas.
Le Rassemblement National est explicitement contre la Démocratie sociale : « la préférence nationale n’est pas compatible avec le syndicalisme ». Les résultats des élections européennes menacent ce pourquoi le syndicalisme agit au quotidien.
Notre devoir de syndicaliste est bien celui aujourd’hui du citoyen ! Suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale, nous serons amenés à voter pour élire les députés chargés de voter les lois et contrôler l’action du gouvernement. Le président devra désigner un premier ministre issu de la majorité parlementaire.
Ces élections législatives sont déterminantes pour les années à venir. Nous ne laisserons pas passivement le pouvoir aux idées fascistes, racistes, xénophobes, antisémites et anti-LGBT.

Nous ne laisserons pas le pouvoir à une extrême droite anti-égalité femmes-hommes qui fait de la femme au foyer élevant ses enfants le cœur de sa politique familiale, une extrême droite qui voit dans l’étranger la cause de tous les maux de la société.

Nous appelons donc tous nos adhérents.es et celles et ceux qui défendent l’Education Populaire, ses valeurs et ses acteurs à se mobiliser pour que cette majorité parlementaire ne soit pas celle de l’extrême droite, ne soit pas celle qui détruira activement tout ce pourquoi nous nous battons.